Marre du 180 grammes, marre des double LP, marre du colored vinyl

Marre du 180 grammes, marre des double LP, marre du colored vinyl

EDIT 2023 : prenons un peu de recul, cet article a plus de 10 ans, les choses ont évolué sur le marché, et si je devais m’exprimer aujourd’hui, je le ferai différemment sur le fond comme sur la forme xD; J’étais probablement bien énervé ce jour là, mais surtout, personne ne me lisait à l’époque. Quelques infos intéressantes tout de même dans les commentaires. Bonne lecture

Non, je ne me suis pas levé du mauvais pied. Non je ne vais pas gueuler pour gueuler. Je pense ici défendre une vraie cause, parce que sincèrement, y’en a marre de se faire prendre pour des pigeons, et encore, je pense m’y connaître un minimum, mais à ceux d’entre vous qui sont nouveaux dans le milieu du vinyle, je leur dis attention !

Avant toute chose, on parle beaucoup de LP, alors si vous n’êtes pas à l’aise avec ce terme, jetez un oeil au lexique : qu’est-ce qu’un LP ?

Marre du 180 grammes !
Dans le fond, le 180 grammes c’est bien, ca veut dire que le vinyle est plus lourd, donc que plus de matière est utilisée, donc que le son est meilleur…voici une réponse trouvée sur un forum :

The vinyl is thick enough that stresses from the grooves being imprinted on the other side of the disc will not « bleed » through to the opposite side. It’s also thick enough to be resistant to warping, but the real issue is the actual quality of the plastic used, and we can assume any 180g pressings are using virgin vinyl. Back in the « bad old days » some records were pressed with recycled vinyl made by grinding up unsold records, labels and all, and not surprisingly, little chunks of paper would sometimes end up in the groove walls. Not what you would call « hifi. » I remember when RCA tried issuing what they called « Dynaflex » records, much THINNER than usual records, claiming they wouldn’t warp because they were so flexible! They died a quick and painful death. But I’m sure they would have saved manufacturing and shipping costs if they had actually worked as they were intended! »

En gros, le vinyle est plus épais, tiens mieux les chocs, et la matière première utilisée est de meilleure qualité. Je n’ai pas de soucis avec ca.

Par contre, que l’on ne vienne pas me vendre du vinyle 180 grammes comme étant de meilleure qualité, si la source utilisée n’est pas la source analogique originale !!! En effet, certains labels ventent les mérites de leurs vinyles 180 grammes, mais pressent leur réedition à partir du CD, ce qui en soit, revient à vendre une Ferrari avec à l’intérieur, un moteur de Fiat Panda…tout ca sans vous prévenir bien sur !

Je me suis dit c’est simple, en contactant les labels on va avoir la liste précise des sources utilisées…tu parles !! Aucune réponse à l’horizon, donc comme d’habitude, on va devoir se débrouiller seuls, mais une réponse ne va pas tarder à être mise en place. A ce sujet, je vous propose de relire la réponse de Earache au sujet des réeditions de Morbid Angel, seul label se mouillant un peu.

Je passerais moins de temps sur les double LP et les vinyles de couleur, qui s’ils partent d’un bon sentiment, ne servent pas forcément l’écoute ! Un double LP est rarement justifié puisque sur du bon vinyle, la qualité maximum peut être atteinte avec 22 minutes par face. En gros, si votre album fait moins de 45 minutes et qu’il est sur 2 ou 3 vinyles, c’est inutile, mais ca fait vendre, et surtout ca fait vendre plus cher puisque dans la tête du consommateur, 2 c’est plus cher que 1 (rien d’anormal jusque la).

Pour le LP de couleur, ça peut partir d’un bon sentiment qui est de satisfaire le collectionneur en lui offrant un LP pressé à moins d’exemplaires. Par exemple, Back On Black propose en général un premier pressage en couleur, puis les pressages suivants sur support noir. Par contre, nous avons été nombreux à noter que le vinyle de couleur dégradait la qualité du son, au même titre que le picture disc…à méditer.

Et vous, vous en pensez quoi de tout ca ?

PS : le but n’est pas au final de critiquer ces supports, mais plus l’attitude de certains labels dans la manière de venrde ces derniers (qualité supérieure, manque d’information, etc)

Wax

Créateur de Vinyle Actu en 2010, passionné de disques vinyles et de metal en général. Vinyle Actu recherche en permanence de nouveaux rédacteurs : si tu te sens la plume acérée et que celà t'intéresse, merci de me contacter.

Cet article a 49 commentaires

  1. titote

    Salut, effectivement, depuis le temps que j’en utilise, les picture-disc ne permettent pas une qualité optimale du disque , pire , les bugs sonores constatés sont indignes d’un pressage se voulant professionnel !!
    il suffit de voir le prix des pictures actuels pour avoir de sérieux doutes sur le rendu sonore, mais, que voulez vous, c’est si joli un beau picture !!!!

    1. anonyme

      Bonjour,

      Pour le 120gr, j’ai lu quelque part qu’il peut contenir jusqu’a 30% de vinyl recyclé alors que le 180gr est 100% pur.

      Cordialement,

  2. Nico

    Merci pour cet article ! J’avoue que je craque souvent pour un beau picture ou un double LP… Mais je te rejoins totalement sur ce coup de gueule ! En particulier pour les rééditions et nouvelles éditions pressées à partir du CD sans information.

    Après ce coup de gueule on rentre vite dans des considérations techniques. Presser un vinyle depuis un master numérique est-ce vraiment une mauvaise chose ? Soyons réalistes qui a un équipement vinyle apte à reproduire fidèlement la source qu’elle soit analogique ou numérique ? Alors au final ça ne choque que les puristes (dont je fais partie).

    1. Tout dépend de la prise de son. Un album enregistré après 1985 est très souvent enregistré en numérique, donc …. inutile de chercher les bandes analogiques ! Et ca peut très bien passer sur vinyle si le mastering est bien fait (le transfert de la source original sur le disque père)
      Par contre, il est vrai qu’avant cette date, les enregistrements étant analogiques, les labels ne font aucune recherche dans leurs archives et collent parfois un master CD sur vinyle (sans mastering vinyle!). Autant dire que ca, que ce soit sur du 180gr ou sur un picture disc, ca ne sonne pas!

  3. Nightcrawler

    J’avoue avoir un avis mitigé sur la question, je ne sais pas vraiment si le Picture Disc change la qualité sonore, de mon experience j’ai deux albums en Picture Disc, et autant le son de l’un est dramatique, autant les autres (c’est un 3xLP) le son est impeccable…
    Après en effet faire un 2xLP pour un album de moins de 45 minutes, c’est vraiment prendre les gens pour des couillons (comme sortir une version LP et une version 2xLP, la bonne blague), mais souvent les albums sont plus longs que ça, donc pas le choix.

    1. Fabien

      C’est pas prendre les gens pour des couillons, si l’album fait 44 minutes par exemple, je préfèrerais avoir 2 LP.
      Pourquoi? Parce que les problème des vinyles, c’est les bords qui s’encrassent et s’usent facilement, et la distorsion au centre du disque.
      Aussi je préfère quand l’espace avant le début de la musique est d’au moins 6mm, et qu’il y ait un bon vide avant le centre (et que la dernière chanson ne finisse pas par une voix aiguë!)
      Par ailleurs ça permet un volume plus important : http://www.vinyl-pressing.com/fr/index.php?page=tech

  4. Sam

    Salut,
    Je suis un peu comme toi, partagé sur le 180 g. Sur le fond le vinyle est plus « qualitatif », mais en tant que fan du support, je préfère mille fois prendre une crêpe originale qu’une réed en 180g. Et ce même si la réed est tirée des enregistrements studio. Par contre je fuis toutes les mention « nouveau mixage ».

  5. Jerome

    Salut, je tombe sur ce post par hasard et suis assez content de voir que le vinyle passionne encore un petit peu certains amateurs. Tant mieux. Pour en revenir à ton article, il y a deux points sur lesquels je ne suis pas tout à fait d’accord :

    – Un vinyle gravé à partir d’un CD, c’est moins bien qu’un vinyle gravé à partir d’une bande analogique, certes. Mais ça n’est pas totalement dénué de sens, car la gravure du vinyle apporte sa part de chaleur et de coloration au CD d’origine. Les préampli de la Neumann, le processus mécanique en lui même, les filtres RIAA, et symétriquement lors de l’écoute. J’ai gravé des vinyles pendant quelques années lorsque je travaillais en mastering, et à la comparaison, la différence n’est pas négligeable pour une oreille avertie. Sans oublier que la plupart des enregistrements récents, sont numériques à la base !

    – Je ne comprends pas le problème des doubles LP : tout le monde sait que le temps de gravure dépend du niveau auquel le son est gravé sur le vinyle. Plus le niveau est élevé, plus l’amplitude du sillon est large, et moins on en met sur une laque. Donc le double LP permet de graver une durée donnée à un niveau (volume) plus élevé, et par conséquent de réduire le bruit résiduel. Ce n’est pas négligeable.

    A part ça, très bonne idée, ce blog. Je reviendrai le visiter.

    1. Wax

      Salut Jérôme et merci pour le commentaire constructif et très intéressant ! Ce que je dis par rapport au double LP, c’est que très souvent, la longueur de l’album ne nécessite pas d’avoir 2 disques, et que cela est souvent utilisé comme argument marketing (2 disques coûtent plus cher que 1), au même titre que le 180 grammes. Par rapport à la source utilisée, je n’ai aucun problème avec les LP sourcés à partir de CD, comme tu le dis, il est possible que le support physique, de par sa matière, son poids etc apporte un vrai plus; la seule chose qui me chagrine est l’opacité qui reigne autour des sources : j’aimerais juste savoir exactement ce que j’achète, et cette information est aujourd’hui très difficile à obtenir de la part des labels. A bientôt

  6. Mitch

    Salut les gens
    je suis assez d’accord avec Jerome en ce qui concerne le choix technique de graver 2LP plutôt qu’un, malheureusement ce choix est généralement plus marketing qu’autre chose..
    Concernant le picture, je suis très partagé, j’ai le Lateralus de TOOL qui est irréprochable et Ride the Lightning de Metallica qui lui est inécoutable….. (au point que je doute que ce soit un officiel)
    et le 180g…..c’est un gros débat qui n’a pas fini d’agiter les claviers !
    à mon avis le poids du vinyle (à source égale) est un avantage si on a une platine avec un plateau léger (bas de gamme actuel ou vintage, en gros sûrement 80% des platines qui tournent en ce moment).
    Avec un plateau lourd et un bon couvre-plateau, ça n’a aucune incidence.
    Perso, 180g sur la pochette ne m’attire pas plus que ça me repousse.

  7. Bouziane

    Bonsoir,
    Je vous ai lu avec beaucoup d’intérêt. C’est clair que presser un vinyle à partir du CD ne présente aucun intérêt sinon que d’ajouter les défauts du à la lecture mécanique la distorsion que j’appellerai « Par omission » du à la trop faible fréquence d’échantillonnage (48K) et au codage sur seulement 16 Bit du disque compacte. On retrouvera la qualité d’un enregistrement analogique qu’à partir d’un enregistrement numérique échantillonné à 96 KHz et codé sur 24 Bit.
    L’intérêt (cela n’engage que moi) du 180 G par rapport aux vinyles extrafins qui apparurent après la première grosse crise pétrolière est leur stabilité sur le plateau et surtout leur robustesse lors du rangement. La courbe RIAA est indispensable pour l’enregistrement et l’écoute des vinyles mais comme rien n’est parfait elle est forcément la source de quelque distorsion sans compter celle apporté par les composants électronique de l’indispensable préampli phono.
    http://www.qobuz.com/info/MAGAZINE-ACTUALITES/HI-FI-PRATIQUE/Le-son-des-disques-vinyle-et-la60105
    Donc, pour en revenir à nos 180 G ou aux vinyles gravés aujourd’hui, il faut s’assurer qu’ils sont bien fabriqués à partie de la bande originale ou, comme c’est souvent le cas aujourd’hui, l’enregistrement est fait à partir d’un magnéto numérique, que la gravure soit faite dans de bonnes conditions en terme d’échantillonnage et de codage.
    Pour conclure, je vous avoue que je prends beaucoup plus de plaisir à écouter mes vinyles que mes CD et que je suis content de voir que ces dernier reviennent à la mode. Dommage toutefois qu’il soit si cher.
    Bonne soirée tout le monde.
    Raphaël.

    1. Wax

      Merci pour cet article très intéressant sur le RIAA, je le conseille fortement à mes lecteurs en retour !

  8. gregk57

    j’ai un peu de retard je viens de redécouvrir le vinyle.
    pourquoi me demanderez vous ?
    Le son est il meilleur oui et non c’est tout un débat alors je vais vous donner mon opinion quant a ce qui m’a fait, en partie, revenir au vinyle.
    Pour le son en lui même:non (après mon matos est en cours d’évolution ;ça changera peut être.
    Parce que les vieux albums ,ce que j écoute principalement (pink floyd,genesis,dire straits, eric clapton,les stones …).Ont été tellement remisés,remasterisé (et avec le loudness war ça devient fatigant d écouter un cd en entier) c’est devenu une espèce de bouillie sonore!
     » l’esprit » de l’enregistrement n’y est plus.Je recherche donc les enregistrements d origine pas difficiles à trouver pour les groupes cités au dessus mais souvent chers ou en mauvais état.
    Pour les enregistrement récents c’est plus compliqué:le mastering et souvent mal fait sur le cd ,qu’en est il pour le vinyle ?
    Il ne peut pas être identique à celui du cd à cause des contraintes liées au support mais ça ne le rend pas forcément bon pour autant.
    pour le moment mon équipement est plutôt milieu de gamme et mes oreilles ont 42 ans..
    Le 180 g est il un plus ? pas remarqué de différence.
    un album en 2 LP ça m’embête plus qu’autre chose mais bon si ça rentre pas dans 1 ben il en faut 2…
    greg

  9. J’ai acheté en 1993 un double LP coloré violet des Smashing Pumpkins, « Siamese Dream ». Le son était très mauvais par rapport à la version CD que possédait ma copine de l’époque. J’étais très déçu. Je n’achète plus de colored vinyl depuis.

  10. Julien Forissier

    On est là dans du pur marketing.
    Aujourd’hui, le vinyle est un produit de niche, haut de gamme. Donc on en donne plus, pour bien plus cher.
    A l’époque, le vinyle était un simple support basique (noir, fin -120g -), et rien d’autres, comme l’est le CD aujourd’hui. Bref de l’utilitaire.
    Il y avait certes déjà des éditions pour collectionneurs, mais peu courante.
    Aujourd’hui, le vinyle c’est avant tout de l’édition luxueuse, en couleur, 180g, double LP…
    Avec dans tout ça, du très bon et du très mauvais.

    De la réédition à l’arrache avec le label 180g pour faire croire que c’est du haut de gamme. Et a coté de ça de très belle éditions colored chez nuclear blast par exemple qui sont collector !

    Ne pas se faire avoir c’est sur !

  11. matthieu

    En ce qui concerne les sources de pressages, le label « Music On Vinyl » garanti la non-utilisation des cd, en guise de sources.
    « Which masters do you use?

    We use the best audio available to cut our records. We receive and use different kinds of masters: analogue tapes, original metal parts, lacquers cut from analogue tapes and high res digital files 192/96khz/24 bit. Music On Vinyl does not use CD’s as masters. »

  12. jules

    salut,

    le fait d’avoir plus de matière permet aux sillons d’être plus profonds, ton diamant a plus d’amplitude donc la track a plus de dynamique ; du coup même à partir de sources digitales (je te défie de différencier un skeud original d’un enregistrement lossless) tu peux avoir un gain audible à être sur du gros grammage.

    1. C’est faut, le sillon gravé a la même profondeur (à la crasse près, si les employés sont des crados) que les matrices qui sont utilisées pour les presser.

      1. Wax

        Je pense que c’était plutôt la largeur des sillons que voulait évoquer Jules, à raison. Pour la profondeur, en revanche, nous sommes d’accord.

  13. Jacques

    Bonjour

    Entièrement d’accord sur le fait qu’un vinyle pressé d’après le CD est une forme d’escroquerie ; après comme lu plus bas, il existe certaines formes de garanties permettant de les éviter.

    Je partage aussi l’opinion quasi-générale sur la fragilité dans la durée des « piktcheure-disks », qui en fait ne devraient cibler que les fans collectionneurs purs et durs d’un artiste ou groupe et n’être destinés qu’à la décoration ou la collection de l’intégrale de tel ou tel.

    En revanche je ne suis pas d’accord sur la moindre qualité ou durée de vie des vinyle couleur (couleur unie s’entend, les couleurs chinées ou marbrées rentrant dans la catégorie picture-disc) et ce pour une raison très simple : à la base le vinyle pour disques pris comme matière brute est transparent ou translucide et de fait, nos vinyles noirs sont eux-aussi des vinyles en couleur.

    Il semblerait, d’après ce que j’ai souvenir d’avoir lu dans une vie antérieure, que cette couleur noire aie été choisie comme standard pour permettre à l’utilisateur de mieux voir et nettoyer la poussière (blanche ou claire) sur ses vinyles.

    1. Wax

      C’est très intéressant, merci pour le commentaire Jacques. Cette article date pas mal, et je vous rejoins : il y a des disques de couleur dans ma collection à présent qui sonnent très bien, je n’avais peut-être pas eu la main heureuse à l’époque. Cette histoire de vinyle noir est très intriguante, n’hésitez pas à poster plus d’infos ici si vous retrouvez la source, ça intéresserait beaucoup de monde.

      1. Bonjour à tous, je découvre par hasard ce blog. Sur la raison des disques vinyles noirs, la raison est toute autre. Cela remonte aux Disques 78 tours et même aux Cylindres. Avec les matériaux composites de l’époque qui constituaient la pâte de pressage, et toutes les variétés de fabrication qu’il y avait, la seule manière de normaliser l’aspect des rouleaux ou des disques était de les teindre en noir, avec je ne sais plus quel type de suie industrielle très très noire, de telle manière qu’avec un très faible pourcentage de suie, l’on puisse teindre toute la matière en noir. Sinon leur aspect aurait été bariolé, mixé, jamais de la même manière, de couleurs instables, etc… Eh oui, je le constate souvent, le manque de connaissances des amateurs de vinyles, qui n’ont pas franchi le saut dans le passé du 78 tours, et qui ainsi se privent de ces connaissances. Naturellement, la couleur noire est restée avec l’arrivée des résines vinyliques au tout début des années 1950… Le monde du disque est très varié. Il y a eu tellement de variétés de techniques de fabrications. Cdt.

        1. Wax

          Merci pour l’anecdote de la suie, c’est intéressant ! Cet article étant très vieux (2012…) la plupart des pressages de couleurs avaient plutôt une vocation marketing qu’autre chose, et donc, devaient certainement être pressés de manière hasardeuse, ce qui statistiquement rendait ces derniers moins bons que les vinyles noirs. Je pense que ce n’est plus le cas aujourd’hui, bien qu’il n’existe pas de consensus chez les audiophiles (aux dernières nouvelles, c’est à dire quelques années tout de même) sur ce sujet.

  14. niel59

    Bjrs,

    Je pense que tout le monde se plante sur l’utilité du 180gr….Pour moi il ne s’agit ni plus ni moins de différencier les vinyles d’origines et les rééditions d’aujourd’hui..question de les différencier pour ne pas couler la côte de certains vinyles d’occasion …..

  15. Mara

    Bonjour,

    Je trouve pas normal le faite de ne pas mettre tous les titres d’un album sur le disque vinyle !!!
    Au prix que coûte un disque vinyle la maison de disque de beaucoup d’artistes enlève des titres et du coup on se retrouve avec plusieurs titres en moins !!!!
    Scandaleux !!!
    Autant s’acheter le CD qui coûte deux fois moins chère !!!! Et au moins l’album est COMPLET !!!!!!!!!!!!!!

    1. fabien

      C’est pour ça qu’il y a des double LP…

  16. PJ

    Hello,
    En ce qui me concerne, le vinyle c’est surtout de la nostalgie … et c’est aussi du visuel !
    Le support est en voie de disparition, que ce soit le CD ou le vinyle, faut bien se faire une raison…
    Il y a des critères objectifs et subjectifs pour parler de la qualité du son? OK, n’en parlons pas.
    Mais il y a une chose que le CD n’a pas : une pochette 30x30cm (ou 60×30, voire 90×30 – voyez le Woodstock I …) Et ça…! Apprécier les couvertures des albums de Yes avec une loupe, pas trop mon truc…!

    1. Wax

      Je comprends le point de vue quant à la qualité du son, ça peut vite être un débat sans fin. Pour ce qui est de la pochette, 100% d’accord, d’autant plus pour les pochettes de YES, qui sont magnifiques pour la plupart !

    2. olivier

      le seul critère objectif c’est tes oreilles!!!! Il n’y en a aucun autre.

  17. dokken

    Bonjour
    Pour ma part j’achete toujours le vinyle , car je prefere ce support pour l’objet, et aussi parce que j’adore les autographes et c’est infiniment plus joli que sur une pochette de cd qui une fois agrémentée de 5 signatures n’est plus visible

    Le vinyla des hauts et des bas mais aura toujours de la valeur. le cd disparaitra.

    Une fois le vinyle acheté je telecharge une version numerique pour pouvoir ecouter dans la voiture. Suis je dans l’iggelalité dans la mesure ou j’ai payé pour avoir l’oeuvre ????

    1. Wax

      Oui, c’est illégal, sauf si vous téléchargez à partir du coupon qui se trouve dans le vinyle (certains labels proposent le téléchargement numérique de l’album en cas d’achat du vinyle).

      1. Nico

        Non, ce n’est pas exactement illégal. On est plutôt dans le flou judiciaire. En terme de téléchargement, la fameuse Hadopi réprime la mise à disposition (quand tu télécharges en .torrent, tu envoies et tu reçois en même temps. C’est la partie « envoi » qui est sanctionnée). La loi autorise par contre la copie privée – c’est à dire l’idée de copier un contenu sur un support différent, pour raison de sauvegarde par exemple – à condition de posséder bien évidemment un original. Tout dépendra donc de comment tu vas récupérer le fichier numérique après ton achat…

  18. Frusquin

    Eh bien pour le Dead par exemples, quelques craquements ont leurs charmes sur les pressages d’origine
    Et les pochettes de Grateful Dead en C.D. plein d’etiquettes, non merci.
    Autant visiter le Louvre ou le musée d’Orsay en regardant de jolis timbres postes tamponnés…

  19. Roro

    J’ai acheté un vinyl « Abbey Road » imprimé. Il y a un morceau carrément coupé !!! Pire le son est horrible, mieux vaut mille fois le mp3. J’ai payé 29.50 +frais de livraison. Soit disant il vient de l’Australie. Il y en a plein sur ebay, vous êtes avertis. Avertissez vos copains, entourages et tous.
    N’achetez que les vinyls provenant de la France et Allemagne où tout est à peu près réglementé dans ce secteur, je crois.

    1. Wax

      Bonjour, vous avez certainement acheté ce que l’on appelle un « bootleg » ou pressage pirate. Ces pressages sont interdits car ils sont pressés sans les droits. Du coup, les « pirates » pressent la contrefaçon très souvent à partir du CD, ou pire parfois même d’un MP3. Certains bootlegs sont en revanche bien conçus et très recherchés par les fans complétistes. Par ailleurs sachez que souvent, le terme de bootleg désigne plutôt en général un « concert pirate », à savoir non approuvé par le groupe et distribué sous le manteau. Ce phénomène date il me semble du début des années 60 avec les premiers concerts de Bob Dylan qui circulaient comme ça. Les groupes, bien souvents, ferment les yeux sur ces objets lorsqu’ils sont réalisés par les fans et apportent quelque chose d’intéressant. Quand à votre St Pepper, sachez qu’il vient d’être réedité, tout beau tout propre, et les critiques sont très favorables ! Merci pour le commentaire. Guillaume

  20. Fabien

    J’ai 700 vieux vinyles, et en ai acheté quelques nouveaux (>2010) dont voici mon avis :
    – J’ai trouvé à Carrefour pour 10 euros des vinyles d’un nouvel éditeur, « Opera Records », jetez-vous dessus! Acheté Miles Davis ‘Kind of Blue’ (coloré en bleu pétrole transparent) et ‘Walkin’, la qualité sonore est incroyable sachant qu’en plus ça a été enregistré dans les années 50. Néanmoins j’ai noté que le volume sonore de Kind of Blue (du colored, quoi) est inférieur à tous mes autres disques. Walkin est parfait. « Made in the EU »
    – Double LP d’Erroll Garner – The Complete Concert By The Sea (avec 11 nouveaux morceaux inédits depuis… 1955!) de Columbia Sony. Rien à dire, super qualité aussi. Pochettes internes intéressantes également. Sony ne s’est pas foutu de nous. Mais pour Erroll il n’en fallait pas moins. Vaut bien ses 23€. « Made in the EU »
    – Innervisions de Stevie Wonder, de Back to Black (original Tamla Motown). Là encore disque de bonne qualité, remastering peut-être supérieur aux anciennes éditions. MP3 téléchargeables (pour l’autoradio j’imagine?). « Made in the EU »
    – Disco vol 2 (A Further Fine Selection of Independent Disco, Modern Soul and Boogie 1978-82) de Soul Jazz Records (label anglais). La qualité du disque est nulle. Au bout de 2 passages javais déjà des craquements et un saut de piste! La qualité sonore a été anéantie par l’ingénieur du son qui a tout saturé de basses. Pochettes internes sans intérêt. MP3 téléchargeables. Seule satisfaction, avoir découvert des nouveaux morceaux de disco (Cordial – Wave!). Ce n’est pas indiqué où ça a été fabriqué.
    – James Brown ‎– Live At The Apollo, de DOL (nouveau label russe). Je n’ai pas eu de chance peut-être car la pochette design laisse apparaître un morceau du disque (disque coloré en bleu flashy), mais le disque craquait déjà à la première écoute, était un peu griffé+ saut de piste! La qualité sonore est vraiment horrible, malgré ce qu’ils disent sur la pochette qu’il était difficile d’avoir un bon son dans une boîte de nuit, j’ai du mal à croire qu’on ne pouvait faire mieux!

  21. Fabien

    J’ai deux maxi 45T translucides qui sonnent nickel, un orange (A Taste Of Honey – Boogie Oogie Oogie) de 1978 et un rouge (Edwin Starr – Happy radio) de 1979.
    Et deux ou 3 pictures discs de début 80 qui ne sont pas dégueu non plus… j’ai donc des doutes sur cette histoire de dégradation. Par contre le pb des picture discs c’est qu’on ne voit pas où est la poussière et autres griffures.

    1. ikki

      Hello,
      perso, mauvais expérience avec la BO de Fight Club en double 180g de couleur rose marbré de blanc : à chaque passage du diamant sur le blanc ça fait « crack » comme une ptite rayure! F**k! Seul les morceaux dans le » rose pure » sont clean.
      Tchuss.

  22. PascalP

    Bonjour,

    concernant le doute entre un 180g et un 120g, le mieux est d’acheter une version des deux et de faire une comparaison chez soi, pour deux ou trois disques qu’on connaît bien. Ceci dit, la différence n’apparaîtra que sur un équipement qui offre déjà un certain niveau de performance.

    Il y a un point dont on n’a pas parlé dans ce post : la mauvaise qualité des disques de pop/ rock des années 70/80. En effet, à l’époque, sur ce genre de disques, la dynamique était très faible (<60 dB) et les basses étaient quasiment inaudibles, ce qui donnait une impression de son sans chaleur, sans détail, une espèce de bouillie insipide. En classique, ce n'était pas le cas. Certains labels, comme Deutche Grammophon, étaient irréprochables.

    Aujourd'hui, j'écoute du jazz et du blues, et je trouve que les choses ont évoluées dans le bon sens. Certains labels, comme Naim Records, Telarc, Linn Records, produisent des galettes vraiment très bonnes. Il y a du détail, de la dynamique, un bon équilibre entre graves et aigus et de belles voix bien texturées. En général, c'est du 180g.

    Les 18 et 19 novembre prochains se tiendra le 2è festival parisien de la HIFI (Hôtel Marriott Saint Jacques – Métro St Jacques). On y trouvera des vinyls de très haute qualité. Qui plus est, on pourra les écouter sur des chaînes HIFI valant des milliers d'euros. Quoi de mieux pour se faire une très bonne idée de la qualité de ces gallettes?

  23. Iron06

    Les nouveaux vinyles 180g ne sont pour moi qu’une vulgaire escroquerie pour (re)faire du fric avec ce medium et essayer (peut-être) de « pécho » le jeune audiophile en le faisant investir dans une platine (à l-heure actuelle les bonnes entrée de gamme sont à 400 euros):

    – Laisse Germaine, j’explique :

    Il est évident que la qualité de restitution (donc d’enregistrement) sur ces nouveaux vinyles est « moins bonne » que sur ceux d’avant, tout cela bien sur écouté sur le même système.

    Exemple : Je rachète pour 15 euros le mythique et sublime « At night at the opera » de Queen. L’objet est superbe, tout blanc, tout neuf…

    Il a été mon premier achat (avec « The Wall » en 1979) et il est chargé grave de souvenirs et d’émotions (je connais les 2 par coeur). Donc je l’ai toujours, craquant et un peu gondolé, la pochette a souffert et a viré au gris… Freddy est parti.
    Je l’ai également en CD.

    Bref l’écoute du 180 est atroce, manquant de relief, les graves sont étouffés et le niveau d’enregistrement bas… Le CD est largement supérieur et « l’ancêtre » est fuoriclasse malgré les craquements.

    je l’avais déjà remarqué avec d’autres 180 mais sans pouvoir faire un comparatif pointu.
    Moralité Germaine: Fini j’achèterai plus de 180 et continuerai à écouter mes trésors d’avant 1990.
    A moins que pour les nouvelles productions, l’enregistrement soit totalement analogique et de qualité.
    Affaire à suivre…

    1. christ

      allez je vais répondre au premier , mais ça s adresse a l article du dessus !
      le 180 grammes c est bien : les mecs ça vous intéresse pas que votre vinyle tienne mieux a la chaleur et risque moins la déformation !
      2 ou 3 lp : c est mieux aussi car le gain ( volume ) est plus important , et la reponse en frequence de la piste est mieux definie , plus ouverte avec plus de detail , bref un gros sillon ca sonne mieux on y loge plus de detail s ; c est pas pour rien que certain label réédite des album simple en double et qu il passe la vitesse de lecture a 45 t / min

      1. Wax

        Hello ! Oui effectivement, il y a du vrai la-dedans, il en faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain ! Le point reste plutôt l’utilisation faite par les major de la notion de 180 grammes : désolé, mais presser de la merde sur 180 grammes, même si c’est mieux que de presser de la merde sur du non 180 grammes, ben c’est pas top, mais passe encore. Par contre, faire croire que le vinyle va sonner super bien parce que c’est du 180 grammes comme marqué sur l’étiquette, ben c’est prendre les gens pour des cons ! Quand Back To Black te mets un gros sticker « Vinyle 180 grammes » sur des réeditions pourries, faut pas venir me dire que cette utilisation du 180 grammes est utile ou même éthique. Pour le double LP ou le 45RPM je pense que cela a un intérêt marginal, et que la plupart (pas tous) des labels qui y ont recours le font pour du pognon uniquement, et c’est bien dommage selon moi. Mais celà reste un avis personnel ! A bientôt,

        1. chris

          Wax , pensez que les gens qui réédit des simples en 2 lp a 45t juste pour l argent c est une erreur ! car ce sont des tirages tres limités donc avec un potentiel de bénéfice très bas ! j ai un miles comme ca payé 45 e ( miles in the sky ) qui se trouve en simple aussi réédité a 30 e ! je peu dire que le resultat est vraiment beton , avec un bon système son ca va de soit ! ces gens la sont des passionnés et aime partager leurs passion ! l intérêt n est pas marginal pour qui aime vraiment la musique et passer de 26 min a 15 min sur une face change vraiment le son d un disque !

          1. Docteur Wax

            Bonjour Chris, je pense que chaque cas est particulier, et qu’il y a des labels qui font vraiment bien leur travail sur les sources, de mastering, de pressage et de contrôle qualité, et que celà a un coût : si le produit est vraiment bon le prix n’est pas forcément choquant, surtout pour des passionnés de musique qui sont prêts à mettre un prix très élevé dans un pressage de ce type. Le but de ce (très très vieil) article n’est pas là, mais simplement de mettre les gens en garde sur un fait simple : un vinyle 180 grammes ou 45 RPM ou je ne sais quoi d’autre ne sera mieux QUE toutes choses égales par ailleurs : ces arguments ne sont pas suffisants pour dire que le son sera bon, ni même simplement correct.

  24. Clem888

    Bonjour,
    Pour enrichir le sujet, je vous ai traduit de l’anglais un petit paragraphe sur la pochette de protection vinyl de la reedition des Emerson Lake & Palmer en 2016 chez BMG (en tout cas sur le Brain Salad Surgery).
    Il y a également un paragraphe de Greg Lake expliquant qu’il veut avoir le meilleur son possible et que l’argument « 180g » est commercial, préambule à l’explication technique du spécialiste.
    Ce texte justifie le choix d’une galette 140g :
    *DEBUT*
    Des enregistrements de 180 ou 200 grammes ne sonnent pas aussi bien que des plus fins. De mon point de vue cela provient du matériau acrylique massif. Comme c’est un plastique d’une certaine douceur, il réagit à la forme des résonances pendant la lecture de la piste.
    Aussi bon que puisse être le son de l’enregistrement, le son plastique du vinyl ne l’est pas… la musique est perturbée par ces résonances.
    Bien qu’un enregistrement plus épais soient plus raide qu’un plus fin, les résonances sont plus lourdes à cause de la masse brute -sheer mass- du matériau (ce qui n’est pas si raide en comparaison aux forces dynamiques d’appui -dynamic tracking forces-).
    Nous savons que l’accélération de la pointe de lecture est de quelques G, et que cela cause des résonances induites par les forces de retour dans le matériau vinyl. Plus le vinyl est sous la pointe, plus ces résonances peuvent survenir.
    Helmut Brinkmann, 2016
    http://www.brinkmann-audio.de
    *FIN*

    La « Force d’appui » est le poids qu’exerce l’aiguille de lecture sur le sillon.

    A méditer…

  25. chris

    Clem888 , je suis assez d accord avec ce que tu dis ! mais charge pas trop la mule , on est combien ici a savoir que que c est pas le 180 g qui est en jeu !

    et d ailleurs on est combien ici a écouter des vinyles avec une pointe + cellule qui vaut le système son complet des gens qui s en plaignent ! , du 180 grammes je veux dire ! 😉

    et j adore aussi les gens qui ne jure que par l analogique d avant 90 alors que des les début 80 le standard pour enregistrer c était le DAT dans les studio ( soit du numérique en passant ) …. les gens râlent les gens râlent ….attention le VINYL HD arrive 2020 …….

  26. Tim C.

    Personnellement je fuis le 180g pour plusieurs raisons:
    – Je pense que l’argument plus épais = plus de hauteur / précision dans l’info dans le sillon est bidon – un 120g permet la même amplitude, il y a des pressages des années 80 qui sont impeccables et imbattables. Je travaillais dans le disque dans les 90s et on savait presser dans pb sur du 120g. La qualité du son change beaucoup sur la longueur de l’info par contre, soit la vitesse de rotation, donc on préférera toujours un 45t à un 33t pour cette raison.
    L’histoire de la protection contre le gondolage est vaseuse.
    – L’épaisseur du 180g en fait des bords plus fins et fragiles, et surtout bien coupants, aussi bien des pochettes souffriront de ‘seam splits’ (le disque coupe gentiment la tranche de la pochette) dans le transit notamment.
    – Le poids augmente le shipping considérablement et signifie aussi un stockage / transport pénible. C’est un poids inutile et parfaitement anti-écolo à cette heure où l’industrie et le consommateur devrait veiller au poids minimum.
    Bilan: le 180g c’est juste un truc marketing où on a fourré dans le crâne de jeunes bobos que ce format était plus cool et qualitatif, mais c’est faux et surtout une honte consumériste et industrielle.
    Le vinyle reste cool mais le 120g suffit. Toutes ces réed. 2, 3 LPs à 180g c’est écœurant, surtout quand elles contiennent des bonus qui nuisent souvent à l’œuvre originale, en la noyant ou la diluant au lieu de ‘l’augmenter’, mais bon ça c’est un autre débat… le coté boulimie et collector produit exprès ne fait en tout cas vraiment pas envie…

  27. Jojo

    Depuis l’enfance, écoutant des vinyles sur la platine de mon père. Ayant depuis quelque années repris le droit chemin du son pur (selon moi) j’ai voulu faire l’expérience de mon album préféré « beatles white album.
    J’ai acheté en premier lieu la réédition à 180g puis ensuite (bien ramée pour mettre la main sur un white album complet sans me faire surcoté , pas simlle), 2 ans quand même. Et bien comme pour tout les autres ( doors, santana, led zeppelin, pink floyd, jean michel jarre, ect….
    J’ai vraiment du mal avec ces réédition. Le son est est étouffé, le micro sillon trop profond. Et quand on met le prix pour un vinyle d’époque ça vaut le coût.

    Pour les néophytes, c’est sympatoche et vintage quand on a envie de un cabriolet tout les 3 mois.
    Mais quand on parle de son sur une fréquence à laquelle on est habitué depuis le berceau, les 180gr sont un belle foutaise marketing. A gerber

    Ayant écumé pas mal de site sur le sujet, on entend pas d’artiste débattre en tout cas. Parce qu’il y aurait beaucoup de chose à faire actuellement.

  28. Stef

    Mais ou trouver une liste de labels fiables qui n’enregistrent pas leur LP a partir de CD ?

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